Pourquoi Jura Vaud Sud ?

Pour que Sur Grati, Mollendruz, Les Grands Plats et Bel Coster soient sans éoliennes.

jeudi 30 octobre 2014

Infrasons

Voici un article canadien qui aurait tendance à contredire les promoteurs de Grati quant aux ultrasons. 
A noter deux petites phrases intéressantes:
Aucun homme politique n’admettra qu’il fait passer l’intérêt d’un lobby avant l’intérêt du pays et de ses citoyens. Le seul pays où ce problème pourrait être dénoncé est la Suisse, grâce à la démocratie directe.

Ça reste à voir...

Pour lire l'article, il faut simplement cliquer sur le lien ci-dessous:
Infrasons des éoliennes

mercredi 29 octobre 2014

Couleurs locales

Après presque deux minutes à 12h45, il y a eu aussi un peu moins de deux minutes consacrées au projet Sur Grati ce soir à l'émission Couleurs locales.
Pour visionner ce mini-reportage, il suffit de cliquer ci-dessous et pour une meilleure qualité, de cliquer sur le lien plus bas.



Reportage Couleurs locales RTS1 29.10.2014

Le 12h45 de la RTS

Aujourd'hui, 29 octobre, on a "parlé" pendant une minute cinquante-neuf du projet Sur Grati à la télévision suisse romande. C'est très court, mais les promoteurs, l'association pro-Grati l'association anti-Grati ont pu dire quelques mots.
Pour les entendre ainsi que voir qu'il faisait beau ce jour-là, vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous.

dimanche 26 octobre 2014

Encore un site internet intéressant

Voici le lien pour arriver sur le site de Friends Against Wind. On y trouve beaucoup de documents de toutes sortes (allez regarder dans le dossier satires), et ce dans de nombreuses langues. Donc, si vous voulez réviser votre suédois, votre allemand ou votre anglais, amusez-vous. Bien entendu, le site propose aussi de nombreux documents en français!

Article dans Le Point

Alors oui, ça se passe assez loin de chez nous puisque c'est en France, mais l'article vaut la peine d'être lu avec sa conclusion très intéressante. Pour cela, il suffit de cliquer ci-dessous.

vendredi 24 octobre 2014

Article dans Marianne

Voici l'article paru dans le journal Marianne du mois passé. Son titre (Eoliennes, ça tourne mal) est un peu agressif, mais nous n'y sommes pour rien...
Bonne lecture!

Un peu de compagnie...

Voilà donc une nouvelle association qui s'est créée. La différence, c'est qu'elle est pour le projet Sur Grati!
Pour ne pas paraître trop agressifs (voir leurs nombreuses apparitions médias), nous leur souhaitons une bonne arrivée dans le "débat"!
Pour leur souhaiter la bienvenue ou participer à leur discussion, voici un lien:

lundi 13 octobre 2014

Tramelan

Le projet du Jura Bernois de La Montagne de Tramelan en est à peu de chose près au même point que le projet Sur Grati. Intéressant qu'il s'agisse là-bas aussi d'éoliennes qui domineront le village!
Leur site comporte des articles, schémas et vidéos qui méritent d'y faire un tour. Leur montrer notre soutien est aussi important!
Le lien se trouve à droite dans la partie liens.
Le voici également ci-dessous:

Belle photo

Les opposants au parc éolien de La Chapelle Blanche, en France, se sont réunis pour dire non à leur façon. Cela donne une jolie photo...

lundi 6 octobre 2014

Et ailleurs dans le monde?

En cliquant sur le lien ci-après, on découvre la situation bien loin de chez nous, au Mexique. Peut-être pas grand chose à voir avec nos projets vaudois, mais cela montre aussi la volonté de faire de l'argent au mépris du respect humain. Les photos sont également impressionnantes!
Chantal Balet, présidente de la Fédération romande pour l'énergie (FRE), s'exprimait dans le Matin Dimanche du 5 octobre 2014 au sujet de l'affaiblissement de l'industrie hydroélectrique en Suisse.
Voici son texte:

Comment affaiblir un fleuron de notre industrie

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Actuellement la production d’électricité hydraulique en Suisse se trouve en danger 
et les Chambres fédérales se dirigent, à juste titre, vers
un important soutien aux nécessaires investissements dans ce domaine. Mais comment a-t-on pu arriver à devoir soutenir par nos impôts l’exploitation d’une richesse naturelle qui fonctionnait très bien et fournissait, sans émission de CO2, près de 60% de notre électricité? On en vendait même à l’étranger avec de bons profits, c’est dire. L’enfer est pavé de bonnes intentions, cela se vérifie une fois de plus.
 
Pour remplacer l’électricité nucléaire, notre pays, prenant exemple notamment sur l’Allemagne, décide de subventionner massivement les nouvelles énergies renouvelables. Fort bien, l’intention est louable. Mais le résultat simplement catastrophique. En effet, le marché de l’électricité s’est trouvé totalement faussé. Grâce aux subventions, le nombre d’installations de nouvelles énergies renouvelables a fortement augmenté. D’accord, c’était le but poursuivi. Mais par l’effet de ces subventions aussi, le coût de l’électricité d’origine «nouveau renouvelable» a fortement baissé, de manière artificielle.

Et c’est là que le bât blesse. L’électricité d’origine hydraulique, tout aussi renouvelable rappelons-le, mais non subventionnée, s’en est trouvée simplement trop chère sur un marché cassé par des interventions étatiques intempestives. A cela s’ajoute, mais on le savait en prenant les décisions, une crise économique qui affaiblit l’Europe et entraîne donc une baisse de la consommation d’électricité. Et, ce qui n’arrange rien, l’arrivée sur le marché d‘électricité bon marché produite par des usines au charbon, un effet domino complexe mais connu de l’exploitation du gaz de schiste américain. Le décor est planté: augmentation d’une offre subventionnée bon marché et diminution de la demande. Et patatras! nous devons subventionner l’hydraulique.
N’eût-il pas mieux fallu réfléchir avant de se lancer dans un exercice de réglementations complexes, de subventions, de contraintes? Au moins en apercevant les premiers effets négatifs des décisions prises? Poser la question, c’est y répondre. A vouloir fausser les règles simples de l’offre et de la demande et agir comme si le monde était figé, on se lance dans un engrenage infernal. Une marche arrière se révèle aujourd’hui très difficile. Il faut sauver la grande hydraulique. On ne peut mettre en danger les installations elles-mêmes. Certes, on ne retrouvera pas avant longtemps une rentabilité satisfaisante de ce secteur, ppersonne ne se fait d’illusion à ce sujet.

Et de nombreuses collectivités publiques propriétaires de ces installations subiront cette baisse de revenus et devront trouver des recettes ailleurs, des augmentations d’impôts par exemple! Et cela aussi bien sur l’arc lémanique ou le plateau qu’en montagne.
 
Et attention à la prochaine étape: la connexion nécessaire au marché européen pour assurer notre approvisionnement et la réglementation stricte sur les aides d’Etat qui s’en suivra.
Les subventions de l’Allemagne sont aujourd’hui contestées en UE, les nôtres risquent fort de l’être aussi. Parallèlement, la libéralisation du marché suisse de l’électricité annoncée par Mme Leuthard pour 2018 entraînera aussi une révision des règles de subventionnement. Une mise à jour de la copie risque d’être douloureuse pour les consommateurs, producteurs et distributeurs. Peut-être faut-il s’y atteler dès aujourd’hui.
 
Chantal Balet,, présidente de la Fédération romande pour l’énergie (FRE)


Intéressant, non? Et si vous voulez participer au débat, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous:
Chantal Balet: comment affaiblir un fleuron de notre industrie