EOLIENNES
Ces machines géantes doivent avec
bonheur,
Remplacer, des centrales nucléaires, la
peur.
Mais les éoliennes dégradent les
paysages,
Ainsi que la santé des hôtes du
voisinage.
Des centaines sont nécessaires pour
esquiver
Le nucléaire, sans jamais vraiment y
arriver.
Mais émus, heureux, nos promoteurs enthousiasmés,
Au vu de grandes affaires, se sont enflammés.
Des propriétaires fonciers vendront et
loueront
Leurs biens. Aimés, chéris, nous les
rétribuerons.
Mutés pros éoliens selon leur
appréciation,
Ils deviendront de grands défenseurs de
la question.
Secondaire, la verdeur de la force
produite.
Elle sera, dans le réseau, vite
introduite.
Cette verte énergie dosée au compteur,
Détroussera rondement ses utilisateurs.
Nos politiciens par les revenus appâtés,
Ont eux-mêmes perdu le sens des
réalités.
Elles ne gêneront à personne ces
éoliennes!
Simplement produiront-elles quelques
étrennes.
De notre Combe devrons-nous voir cette
laideur,
Et regarder, sur les Grands Plats, tournoyer
l’horreur?
N’acceptons pas ce sombre et chétif
destin,
Réfléchissons et réfutons ces choix
enfantins.
Philippe
Berney
Concerne : publication du poème : Eoliennes
RépondreSupprimerMessieurs, vous avez toute liberté de publier ou non mes élucubrations. Mais si vous le faites, faites le comme il faut. Merci d’aligner les lignes à gauche. Merci salutations et excusez ma liberté Philippe Berney
Merci tout est rentré dans l'ordre. Ph.berney
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